Salle de soin des femmes / chambre n° 3 : de Dame Alazaïs

Pegas choisi une chambre éclairé et propre, il installa le lit prêt de la fenêtre. Il couvrit ce dernier avec un drap propre et déposa un autre dessus, il installa aussi une petite table avec un petit tiroir à coté du lit et une chemise de l’hôpital propre et pliée au dessus de cette table.

Tout fut vite installé, Pegas retourna alors vers Alazaïs pour la conduire à sa chambre.

Alazaïs avait suivit Pegas jusqu'à la chambre qu'il avait apprêté pour elle. C'était une pièce lumineuse d'où elle apercevait même le toit du Palais diplomatique.

Voyant la chemise de l'hôpital, elle demanda: Je dois me déshabiller?

Je dois me déshabiller?

Pegas en souriant lui répondit.

Oui; Vous devez mettre cette chemise, je vous laisse vous changer, et pendant ce temps moi je vais chercher une infirmière.

Pegas s'excusa et sorti de la chambre, il se dirigea ensuite au bureau des infirmiers.

Une fois que le jeune homme eut quitté la pièce, Alazaïs commença a délasser son corsage et ses bottines. Elle eut qqs difficultés à retirer ces dernières suite à l'incident ayant eut lieu aux noces d'Ombeline.

Une fois nue, elle revêtit la chemise mise à sa disposition, puis son châle, ayant un peu froid. Elle devenait frileuse avec le temps (ou le confort?) Elle s'assit sur le bord du lit, attendant l'infirmière.

Pegas frappa à la porte de la chambre de dame Alazaïs en attendant qu'elle lui permette d'entrer...

[Pour situer chronologiquement ce RP, je rappelle qu'il se passe après le Mariage d'Omby.]

Alazaïs était certes peu vêtue, mais les parties intimes étaient dissimulées sous la chemise. Il tira un coin du drap posé sur le lit et répondit:

Entrez!

Elle n'était pas sur d'avoir reconnu la voix, mais il s'agissait bien du soldat Pegas. [Note: Alaz ignore la demission puis le retour de Pegas et elle y connait rien en grade militaire!]

[c'est ok pour la chronologie et ok pour la note concernant ma situation militaire ^^]

Entrez !

Pegas poussa doucement la porte et entra dans la chambre avec une tasse sur un plateau, de la vapeur qui se dégageait de la tasse...

Il se dirigea vers la table à coté du lit et déposa le plateau dessus...

J'ai informé le personnel de votre présence Dame Alazaïs, on ne va pas tarder à venir s'occuper de vous.

Pegas lui désigna la tasse.

C'est une tisane qui va vous faire du bien.
C'est un mélange de vigne rouge et de feuilles de framboisier.
à consommer avant que ça refroidisse de préférence.
Faites attention c'est très chaud...

Vous désirez autre chose? je suis à votre service.... Sinon je vous laisse à vôtre aise en attendant l'arrivée de l'infirmière...

Une délicieuse odeur pénétra dans la pièce à l'ouverture de la porte. Le soldat lui apportait une tisane. Alazaïs essaya d'en deviner le contenu; elle n'eut pas à se creuser la tête très longtemps, puisque Pegas la devança. Elle écouta ces instructions et le remercia d'un signe de tête.

J'ai informé le personnel de votre présence Dame Alazaïs, on ne va pas tarder à venir s'occuper de vous.

Savez-vous si je vais devoir attendre longtemps? J'ai encore beaucoup à faire à St-Vaast...

Savez-vous si je vais devoir attendre longtemps? J'ai encore beaucoup à faire à St-Vaast...

Non, je ne pense pas, l'infirmière va arriver dans un petit moment, même la capitaine m'a dit de vous informer qu'elle va passer vous voir, et elle ne va pas tarder.

Je vous laisse, je vais aller voir quelques patients, je repasserai tout à l'heure.

A tout à l'heure.

Pegas s'excusa en souriant et quitta la pièce...

Tiberre savait que de nombreux civils avaient fait irruption, mais un nom le titilla. Il se dirigea vers la chambre concernée, frappa et attendit qu'on lui réponde...

Pendant que Mélina se reposait du sommeil du juste, Ombeline en profita pour aller voir comme promis Alazais.
Avec étonnement, elle croisa Tiberre.

Hum, bjour soigneur tiberre.
Alazais m'attend, hum, elle vient ici pour hum enfin c'est assez personnel, je vais lui dire que tu souhaites lui parler avant, veux-tu bien attendre qq minutes, s'il te plait ?

Elle n'attendit pas la réponse et se faufila dans la pièce.

Alazais, me voici.
Je n'ai pas trouvé d"infirmière de suite sous la main alors, bon, je vais voir moi même ce qu'il en est. Rien ne sortira d'ici, je t'en fais le serment.
Avant, je dois te signaler que tiberre est derrière la porte, et hum il sait que tu es ici. Il veut te voir, que fais-je ?
Je le laisse entrer ?

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Alazaïs dégustait à petite gorgée sa tisane, lorsqu'Ombeline entra dans la pièce à pas feutrée :

Je n'ai pas trouvé d"infirmière de suite sous la main alors, bon, je vais voir moi même ce qu'il en est.

C'est pas bien grâve. Je vais retourner à St-Vaast et je reviendrais plus tard. Ce n'est que des nausées, rien de plus!

Les infirmières sont occupées ailleurs? C'est grâve?

Avant, je dois te signaler que Tiberre est derrière la porte, et hum il sait que tu es ici. Il veut te voir, que fais-je ?

Bah! Je vais me rhabiller et aller le voir tout de suite! Joignant, le geste à la parole, la Chambellan se leva, un peu brutalement, tangua mais essaya de le dissimiler, puis attrapa ses vêtements.

Oui, bon fais attention tout de même.
Hum, ça ne me plaît guère de te voir partir comme cela.
As-tu eu la tisane de Mélisse ?
Cela pourrait te faire du bien.

Je vais faire patienter Tiberre, le temps que tu rhabilles.

La jeune femme laissa sa collègue et ressortit dans la couloir.

Hum, soigneur Tiberre, attendez un peu quelques instants, elle va vous recevoir. Elle euhh enfin elle se prépare. Ne la fatigue pas trop, il faudrait qu'elle reboive qq chose de chaud, avant de partir, je vais chercher ça.

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A peine Ombeline sortit, Alazaïs se laissa tomber sur le lit tant la tête lui tournait. Elle s'était probablement levée trop brutalement, ou elle manquait de sommeil. Oui, c'est celà, elle était étrangement épuisée... Rien de grave donc. D'ailleurs pourqoi serait-elle malade?
A 30 ans passés, elle n'avait même pas eut le moindre rhume de sa vie ... A part la terrible fièvre de son enfance après s'être baignée dans la rivière gelée, mais bon, c'était prévisible!

Elle retira la chemise d'hôpital, remit la sienne, puis son corsage, et enfin ses bottines. Elles étaient difficiles à mettre à cause du bandage, mais elles tenaient mieux le pied, donc la marche était bien plus agréable qu'avec des chausses.

Elle ouvrit la porte et se retrouva face à Tiberre. Elle essaya de prendre un air enjoué et sur: Bonjour, Tiberre!

Tiberre s'était glissé dans la chambre après avoir croisé Omby qui était, elle, partit cherché de quoi revigorer la Chambellan.

Bonjour Ala...Ne bouges pas, je suis là, car je suis inquiet, j'ai eu vent de tes nausées, et j'espérais pouvoir t'aider. j'ai une petite idée sur ce qu'il se passe, mais pour cela, je dois te poser une question indiscrète.
Me l'autorises-tu?

Alazaïs fronçà les sourcils : les propos de Tiberre l'avait plutôt inquiétée que rassurée... Il était inquiet pour elle? Il voulait l'aider? Mais il restait la en train de se tortiller comme un enfant qui vient de faire une bétise.

Parle, bon sang! Tu veux me faire des examens? Ce n'est pas un problème.

Tiberre fut étonné de la réaction d'Ala

Ala, écoutes moi...je t'ai dit que j'avais une question, je n'ai pas parler d'examen, et si cela avait été grave, sur un diagnostique incertain, il y a longtemps que je me serai occupé de toi....
Non, ma question est celle-ci:
As tu eu une relation intime avec un homme? Car de telles nausées peuvent etre le signe d'une progéniture en cours.
Après je me trompe peut etre, mais je me dois de t'intéroger.

Eberluée, Alazaïs claqua la porte au nez de Tiberre, puis se jetta sur le lit d'hopital, pleurant à chaudes larmes...

Tiberre ne chercha pas a comprendre la réaction d'Ala, il se dit juste que si elle ne voulait pas qu'on l'aide, ben elle n'avait qu'à pas venir...

Quelques minutes plus tard, H, ayant appris que la chambellan était souffrante, se rendit à l'hopital. Il y était déjà venu pour amener Authentique après sa condamnation public. Il demanda la chambre à une infirmière qui passait par là et s'y dirigea.
Il frappa à la porte et attentit. Ne recevant pas de réponse il colla son oreille à la porte pour écouter ce qui se passait à l'intèrieur.

Rufus venait de laisser la marmaille aux deux femmes, décida d'aller chiquer tranquille. Il se promena donc dans les couloirs et surprit un gars de dos l'oreille collée à une porte. Intrigué, il resta dans l'ombre, histoire de voir ce que le gus allait faire. Sa silhouette lui disait qq chose.

En sortant de la chambre de Caluna, Pegas aperçut H son oreille collée à la porte de la chambre de la dame d'Ambrincourt, il s'approcha de lui...

Salut Hage ... je peux t'aider?

H tenta de rester digne et dit:

Euh ... oui oui ... je venais voir notre chambellan mais comme ça répondait pas quand j'ai cogné j'ai essayé de voir si je pouvais entrer quand même sans déranger.

Il fit un grand sourire à Pégas.

Pegas sourit à H;

D'accord, je n'ai pas beaucoup de temps, car ça urge avec une autre patiente mais je vais voir, je vais lui dire que tu souhaites la voir...

Il frappa à son tour à la porte d'Alazaïs...

Dame Alazaïs, c'est l'infirmier Pegas, je peux entrer?

Qqun toqua à la porte.
La première fois, la personne ne se présenta pas, elle cru donc que s'était Tiberre. Refusant de se montrer dans cet état, elle fit la morte! A ce moment, elle aurait d'ailleurs préféré l'être réellement!
Au deuxième coup, Pegas se présenta; elle ne pouvait décemment pas le laisser à la porte : c'était son infirmerie! Entre 2 sanglots, elle lui autorisa l'entrée.

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