[RP]== Chapelle de l'Ost ==

Ced93 vit le caillou qu'ils osaient appelé chapelle. Il appella 5 ouvriers et leur demanda d'aller lui chercher des matériaux afin de faire une chapelle digne de ce nom.
Ced93 appella 20 ouvriers et leur recommanda de suivre ses plan pour faire la charpente et les fondations :




Puis l'aumonier demanda à 5 ouvriers d'aller chercher sa commande chez un verrier non loin des casernes:







Puis alla chercher une petite merveille toute droit livrée d'Azincourt, une cloche magnifique:

Oui mon enfant que voulez vous ?

La jeune femme vit enfin une tête brune sortir et s'avancer vers elle. Elle observa attentivement l'aumonier. Il était fort grand, carré comme "un meuble" et portait une petite médaille au premier abord mais elle n'approfondit pas plus son intropection de peur de se montrer déjà irrespectueuse envers un Homme de Foi. Elle esquissa un sourire en voyant une tâche de poussière sur son front, il travaillait avec les ouvriers sans doute afin de mieux montrer ce qu'il désirait.

Bjour mon père, et bien, je venais m'enquérir si tout se passait au mieux pour vous. Etes-vous satisfait des ouvriers ?
Hum, vous avez un peu de poussière au visage, mon père.

Oui les ouvriers sont sympatiques et en plus un peu de travail manuel ne me fait pas de mal .
Je pense quand même que nous pourrions accélérer la cadence pour que l'autel soit fini avant dimanche .

Oui oui avec plaisir Ced93 cria mes enfant c'est l'heure de la pose .

Oui oui ajoutez moi une grande vigne et une bonne cave et je me plairais bien ici .

Bon il me faudra aussi deux ou trois personnes, un petit effectif mais ça ira et en plus, j'ai ma résidence à Azincourt où je me sent mieux.

Bon je passerai toutes les deux semaines pour faires une messe.

Ced93 remontit sur son cheval et partit vers Azincourt.

Ced93 revin avec une tête un peu honteuse
Ombeline je reste en faîtes comme je dois me faire ordonné et oui dsl pour tous ce remus ménage mais bon repartons sur un bon pied et oui au fait messearsoye notre bon archeveque passera bénir les vignes

arrivé sur le chantier il apercu un ouvrier au forme pas trés masculine , tout a coup il reconnu son capitaine et alla la saluer
bonjour capitaine truelle il esquissa un sourire je peu vous aider ?

Drenth venait d'arriver à Arras où il prenait des vivres pour continuer sa mission de surveillance. Il effectuait une livraison un peu spéciale à la chapelle de l'ost, un panier d'osier coiffé d'un couvercle. Il avait entendu dire que celle-ci se trouvait sur un site infestée de nuisibles et qu'une explotation vignicole allait y voir le jour. Pieu depuis l'enfance et attristé de l'absence d'un curé à Péronne Drenth avait décidé de faire un don un peu particulier à l'Eglise. En arrivant à proximité de la chappelle Drenth salua quelques ouvriers en train de se reposer d'un signe de la main et ceux-ci lui répondirent dans l'ensemble. Il décrocha le but de sa venue du dos de Thales, cet imposant bagage se prit momentanément dans l'écharpe de Drenth qui eu toutes les peines du monde à ne pas se faire étrangler. Drenth reprit son souffle et en profita pour jeter un regard circulaire au lieux à la recherche d'un quelconque responsable, voir de l'aumonier lui même. Seules deux personnes semblait être en pleine activité, toutes deux sur sa droite. Une jeune femme et un homme à l'âge incertain. Penchés sur un terrain ingrat ils retiraient un à un pierres et cailloux et les jetaient dans une brouette. La jeune femme, pour autant que Drenth pouvait en juger étant donné qu'elle lui tournait le dos, devait être d'une grande beauté. Sa chevelure, relevée en chignon, laissait voir sa nuque blanche et ses courbes harmonieuse, bien que n'étant pas mise en valeur par la tenue qu'elle portait, auraient sans doutes rendu jalouses de nombreuses femmes mieu loties dans leur vie professionelle. Drenth se rapprochat d'elle, ignorant superbement l'autre travailleur, il avait décidé que ce serait elle qui lui indiquerait où effectuer sa livraison. Arrivé à environ deux mètres d'elle il lui adressa ces quelques mots en guise d'introduction.

Quelle tâche ingrate pour une si charmante personne.

afferé a sa tache fragar n'avait meme pas vue le sieur drenth arrriver et voyant qu'il l'ignorait il fit de même et continua le ramassage des pierres
je crois bien qu'il ne vous avait pas reconnu capitaine et il se mis a rire en amenant la brouette pleine de gravats

je crois bien qu'il ne vous avait pas reconnu capitaine

C'est peu de le dire que Drenth n'avait pas reconnu la capitaine. Sans quoi jamais il ne se serait permis de lui parler en ces termes. Et ce pour de multiples raisons. Néanmoins les mots prononcés étaient sincères.

Euh... Capitaine? Je... euh... veuillez m'excuser mon écart de conduite. Je veus dire, je ne suis pas comme ça d'habitude. Je heu... mais vous? Ici?

Drenth entendit alors une part de son être lui dire "Mais tais toi donc idiot." aucune autre idée ne lui parvint c'est donc ce qu'il fit. A ce moment il avisa la main tendue qu'il saisit espérant que sa gène n'était pas trop visible tout en en doutant fortement. Drenth tenta de reprendre contenance et y parvint à peu de choses prés.

Le plaisir est partagé capitaine. Rufus vous a t'il transmis mes propos ou vous ai je vu avant lui?

Drenth ne s'attendait pas à croiser Ombeline en ces lieux et n'avait donc rien à lui offrir. Bien que celà soit tout à fait fortuit une part de lui le regrettait sincèrement, de même qu'une part de lui regrettait les propos qu'il avait eu un instant auparavant. Il avait donné sa parole et l'avait d'une certaine manière trahie. Drenth se rendit alors compte qu'une autre part de lui était heureuse de ce qui proquo. En proie à une bataille intérieure Drenth songeait de plus en plus à prendre la fuite mais avant celà il avait une tâche à accomplir. Et puis il venait de relancer la conversation.

Euh... Capitaine? Je... euh... veuillez m'excuser mon écart de conduite. Je veus dire, je ne suis pas comme ça d'habitude. Je heu... mais vous? Ici?

écart de conduite pour ??? Voyons, y a pas de mal. Enfin, je n'en vois pas, ceci dit.

Elle balaya l'air devant elle d'un gracieux mouvement de la main devant elle, un sourire aux lèvres. Si c'était pour le charmante, il n'y avait vraiment pas de mal, songea-t-elle, mais il avait l'air tout gêné, elle ne mordait pas quand même. Elle retira un peu de terre sur son front et le regarda reprendre un peu contenance devant elle sous l'oeil amusé de Fragar.

et oui, que voulez-vous Fragar, sous cette sinistre redingote, il m'a pris pour une autre. Arfff, j' vous jure, c'est pourtant bien pratique comme tenue pour ce genre de travail.

Le plaisir est partagé capitaine. Rufus vous a t'il transmis mes propos ou vous ai je vu avant lui?

Vos propos ? Oh, je ne l'ai pas encore vu, je dois dire. Il doit être en train de cuver dans une auberge. Etait-ce urgent ? car, si c'est le cas, j'irai le sermonner.

Nullement capitaine, il ne s'agissait que de mes remerciement pour l'envoi que vous m'avez fait. L'écharpe est véritablement magnifique, l'oeuvre d'un artisant de talent. Et une idée remarquable au vu du temps. Quand à Rufus il a certes la descente rapide mais c'est un bon bougre. Il m'a même aidé à affronter un bandit...

Drenth termina muettement la phrase qui lui venait "..., il est même trés bon dans le rôle de l'appat." A ce moment un feulement sauvage et un fort mouvement du couvercle lui appris que le contenu du panier, qui jusque là s'était montré plutôt calme, devait commencer à trouver le temps long. Il essaya de maintenir le couvercle en place mais reçu un coup de griffes avant de l'avoir refermé entièrement. Un fauve d'environs trente centimètres de haut de couleur rousse bondit hors de sa prison d'osier et disparut rapidement dans les haute herbes.