[rp]chambre du lieutenant beauziac.

précèdent la civière de beauziac porté par rufus et un autres soldats croisé sur le chemin et qui l'avait gentillement allégé de son fardeau, elle ouvrit largement la porte d'une chambre privée et disponible et les invita à entrer.

allons y messieurs installons le sur le lit mais je vous demande d'y aller doucement et synchronisé.

voyant rufus ronchonner encore comme pendant tout le trajet elle lui décocha un regard réprobateur, mais ne dit rien de plus. une fois le malade installé elle les remercia, puis leur donna congé.

ça va allez fanfan tu es bien pâle ? tu vas pouvoir te reposer dans une chambre a coté pendant que je fais les soins. je vous installerais ensemble ici ensuite.

je vais allez chercher du monde pour m'aider.

ça va allez fanfan tu es bien pâle ? tu vas pouvoir te reposer dans une chambre a coté pendant que je fais les soins. je vous installerais ensemble ici ensuite.

je vais allez chercher du monde pour m'aider

Fanfan suivait tout çà mais ses pensées étaient ailleurs. Elle pensait au procès qui allait avoir lieu et elle savait que dans l'état de faiblesse dans laquelle Beauz se trouvait, il n'était pas sûr de pouvoir s'y rendre et de s'y défendre.

"Ne t'inquiète pas pour moi, occupe toi de lui, je dois aller au tribunal militaire la carrière de Beauz s'y joue et je dois me montrer forte. Tu t'occuperas de moi plus tard. Fait tout pour le sauver Nefi, je n'ai plus que lui..."

Puis Fanfan caressa la main de Beauz, toujours inanimmé, lui baisa le front et lui chuchota :

"Bats toi, je t'en prie, ne me laisse pas seule, je te survivrai pas et moi je t'aiderai aussi, je serai toujours là, comme je l'ai toujours été..."

Elle lui jeta un dernier regard et je dirigea vers le tribunal militaire

elle laissa fanfan partir mais restait inquiéte pour elle, elle avait demandé à un aide d'allé chercher liptis et feff et revient rapidement vers le lieutenant lui portant les premiers soin nécessaire mais un plie d 'inquiétude barrait son front.

relevant la tête en entendant liptis elle fut soulagé de le voir déjà là.

à parfait liptis tu as été rapide, aide moi à le dévêtir s'il te plait. il à fait un malaise dans le bureau du capitaine, il est très faible et vu l'odeur qu il dégage j'ai bien peur qu'il ait été mal soigné. il ce peut aussi qu'il ait prit un coup sur la tête qui ne ce déclare que maintenant.

Beauziac vit dans un nuage des blouses blanches s'affairé autour de lui et repartir en songe.

Sont rêve
Il se bâté contre des montres avec des cornes. Remplir de bave et de mensonge ses combattants ne se bâté que pour de l’argent pas pour l’honneur.

A sa droite il vit un homme de lumière, lui dire tu vois ces bêtes a cornes ; Tu dois les combattre, pas dans sont ensemble mais ceux qu’ils sont la juste pour l’argent et le pouvoir ce sont fait corrompre, ils ont perdu la foi des vrai valeurs de l’Artois. Ils sont devenu que des bête malversant et trompe tout l’Artois par leur mensonge.

Il reprit connaissance en transpirant fortement, il senti ses blessures recouverte qui suinte le long de son corps meurtrie.

Puis un flash lui passa dans la tète, sont enfant mort, sa Fanfan grièvement blessé. Le sang lui monta a la bouche quand il vit YB prendre un malin plaisirs de lui mettre des coups d’épée dans sont corps.

Il hurla d’une voix de mentors de chant de bataille a sont encontre Tes forts avec les bourrins, mais tout seul tu n’a pas de …

Vit l’épée de YB s’enfoncé encore et encore ainsi d’autre qui s’acharnée contre sont corps alors qu'il etait a terre.

S’évanouir après l’effort fournir…

Se réveillant, avec l’odeur du sang, du médicale, sentir qu’ont le déshabillé.

Cria Fanfan, tes ou ?ma Fanfan,je t'aime...

respira plus fort,sentir sont coeur tapé la charmade

Ne reconnu personne dans un voile blanche.

Il essaya de se levé, mais devant les mains ferme des soigneurs se retrouva allongé sur le lit médical.

Fonça les sourcils en cherchant un objet pour se defendre qui ne trouva pas et vit une femme qui ne reconnu pas en blouse blanche, je suis ou ?vous étés qui ?

alors que liptis l'aidait à dévêtir le lieutenant celui ci s'agita violemment, criant et combattant un ennemie imaginaire. ils le bloquèrent un instant pour qu il ne se blesse et nefi lui parla doucement.

passa sa main sur son front brulant.

chut beauz calme toi, c'est moi nefi, tu es à l'hopital, fanfan va revenir bien vite, repose toi, on s'occupe de toi, tout iras bien maintenant.

puis se tournant vers liptis, tu peux me préparer une infusion d'écorce de saule blanc s'il te plait, il est brulant de fièvre. il va falloir contrôler chacune des plaies il a une grosse infection visiblement.

l'un comme l'autre ne perdirent pas une seconde et une fois fini de le débarasser de son uniforme ils refirent tout les soins, échangeant quelques fois des regard inquiet sur ce qu'ils découvraient à mesure...

alors que liptis l'aidait à dévêtir le lieutenant celui ci s'agita violemment, criant et combattant un ennemie imaginaire. ils le bloquèrent un instant pour qu il ne se blesse et

Nefi lui parla doucement.

Senti une main douce sur son front brulant.

chut beauz calme toi, c'est moi nefi, tu es à l'hopital, fanfan va revenir bien vite, repose toi, on s'occupe de toi, tout iras bien maintenant.

elle se tournant vers liptis, tu peux me préparer une infusion d'écorce de saule blanc s'il te plait, il est brulant de fièvre. il va falloir contrôler chacune des plaies il a une grosse infection visiblement.

l'un comme l'autre ne perdirent pas une seconde et une fois fini de le débarasser de son uniforme ils refirent tout les soins, échangeant quelques fois des regard inquiet sur ce qu'ils découvraient à mesure...

Regarda se sentir balloté, par des mains professionnelles des soins.

Liptis lui donna un peu d'infusion.ça l'apaissa et le desaltera en meme temps.

soufla dans un mumure a Liptis Merci

En fin sa fievre se mit a baissé.Mais ses mains tremblé comme un vieux.Pensant aux Bourrins et a leur grand Chef fort et valeureux pour ses actes reussi a se maitrisé.Une lueur noire de determination passa dans ses yeux mais la douleur lui fit facillé ses yeux et les ferma et faissant la grimace.

une à une elle soigna les plaies de beauziac, l'air été irrespirable du a l'infection qui s'était logé partout. elle restait concentré, l'aide précieuse de liptis à ses cotés était un bon soutien et comme d'habitude il faisait preuve d'efficacité.

chacun positionné d'un coté de leur patient, ils refirent tout les soins, nettoyant méticuleusement, appliquant des compresses de charpie imbibé de mixture dont seul nefi avait le secret dans ses cas extrême. avant de bander chaque parti de ce corps meurtrit.

bien il va nous falloir instaurer un tour de garde auprès de lui il ne doit pas rester seul, on renouvellera les pansements régulièrement jusqu'à ce que ça ne suppure plus ainsi.
il faudra contrôler sa fièvre aussi, garder cette chambre d une propreté exemplaire. on va brûler tout ses pansements usagé. et installer un brasero pour brûler de la lavande ça assainira l'atmosphère.
reste avec lui pour le moment, je vais passer à l herboristerie voir si je peux faire plus et ramener le nécessaire.


dans le couloir

aprés quelques échanges entre eux nefi sortit et tomba nez à nez avec toute une foule de soldat autour de ombeline et fanfan.

eyh bien que de monde ?

Mungaud attendait dans le couloir que la médicastre est pû donner les soins quotidiens à Beauziac.

Chacun allait par ses paroles de réconfort. Tentant lui redonner de l'allant pour l'avenir, chacun allait de sa joli phrase.

Une fois la médicastre partie, il décida de rentrer dans sa chambre et salua militairement le blessé

Mes respect mon Lieutenant. J'espère que vous vous remettrez vite de ces blessures et que vous nous reviendrez assez vite au fort.

Il salua aussi les présents de la tête. Il observa les blessures de Beauziac et pour eu un rictus devant les bandage sur son torse.

Vous ont pas épargné mon Lieutenant. Mais je sais que vous êtes assez costaud pour outrepasser tout cela.

Sachez que le fort d'Azincourt attend patiemment que vous vous rejoignez à nous.

Il se pencha vers son oreille et lui murmura :

Sachez que pour moi vous êtes encore le Lieutenant du fort malgré le verdict. Les responsables de tout ça sont autres

Il lui sourit et fit un clin d'oeil

De toute façon le Sergent s'occupe très bien de nous et Pol est une cuisinière de première

Nous manque que des bleus pour faire le sale boulot que Pol veut plus faire

Sur cette dernière phrase, il regarda sa soeur d'arme et rit. Il mis son bouclier devant lui et lui dit sa phrase préférée :

Pas taper pas taper

Beauz entendit du brouhaha ne compris rien.

Vit un grand gaillards lui parlait :

Mes respect mon Lieutenant. J'espère que vous vous remettrez vite de ces blessures et que vous nous reviendrez assez vite au fort.

Il salua aussi les présents de la tête. Il observa les blessures de Beauziac et pour eu un rictus devant les bandage sur son torse.

Vous ont pas épargné mon Lieutenant. Mais je sais que vous êtes assez costaud pour outrepasser tout cela.

Sachez que le fort d'Azincourt attend patiemment que vous vous rejoignez à nous.

Il se pencha vers son oreille et lui murmura :

Sachez que pour moi vous êtes encore le Lieutenant du fort malgré le verdict. Les responsables de tout ça sont autres

Il lui sourit et fit un clin d'oeil

De toute façon le Sergent s'occupe très bien de nous et Pol est une cuisinière de première

Nous manque que des bleus pour faire le sale boulot que Pol veut plus faire

Sur cette dernière phrase, il regarda sa soeur d'arme et rit. Il mis son bouclier devant lui et lui dit sa phrase préférée :

Pas taper pas taper

Il essaya de répondre mais aucun son sortir de sa bouche qui était sèche et pâteuse.

Il voulu lui sourit et lui faire comprendre, il ferma les yeux.il pensa malgré la douleur qui le lanciné sur tout sont corps que c'est un bon soldat un peu trop jovial pour lui vu son état.

Fit un signe avec un grand effort de bienvenu, pour lui faire comprendra que ça lui faisait vraiment Plaisir et réussi à dire garde-à-vous, repos disposé soldat et ses derniers s’évanoui dans un souffle.

préssé de questions elle laissa quelques personne entrer dans la chambre.

pas plus d'une minute surtout, le lieutenant est trés faible et doit se reposer.

puis se tournant vers la capitaine.

oui j'ai tout le nécessaire pour le soigner mais il est bien mal en point. nous allons devoir mener une lutte sans relache contre l'infection et j'avoue je suis inquiéte pour sa vie. si nous ne parvenons pas à la stopper il ne survivra pas. tu veux bien controler qu il ne reste pas trop longtemps dans la chambre ? je pars à l herboristerie consulter mes grimoirs.

[Dans le couloir...]


La Capitaine changea un peu de tête... ah quand même, il était loin d'être sauvé.... Elle hocha de la tête d'un air entendu.

Oui, oui, promis. Bien, bonne consultation...


***

[Dans la chambre]

La jeune femme entra à son tour dans la chambrée... Tous étaient déjà autour de Beauziac. Elle regarda ce dernier allongé dans son lit, silencieuse et se rapprocha aussi du bord de lit.

Il s'est assoupi ?
Avez-vous pu lui dire quelques mots ?

Je viens de voir la Médicastre, les visites sont conseillées mais pas trop longues afin de ne pas nuire à sa guérison et le fatiguer.

Dans le couloir...]
Fanfan écouta Néfi avec attention

oui j'ai tout le nécessaire pour le soigner mais il est bien mal en point. nous allons devoir mener une lutte sans relache contre l'infection et j'avoue je suis inquiéte pour sa vie. si nous ne parvenons pas à la stopper il ne survivra pas. tu veux bien controler qu il ne reste pas trop longtemps dans la chambre ? je pars à l herboristerie consulter mes grimoirs.

Fanfan pâlit et se rendit compte que la capitaine était surprise ...Elle se demandait d'ailleurs comment ils avaient pu survivre à cette attaqueet n'ignorait pas qu'ils étaient loin d'être sauvé, mais elle encaissa sans dire un mot, ce nouveau verdict et se glissa avec les autres dans la chambre.



[Dans la chambre]

Fanfan s'était un peu mise à l'écart afin de laisser ses soldats le voir. Elle écouta , émue, la déclaration de Mungaud et la vague réaction de Beauz avant de s'évanouir à nouveau
Puis elle entendit la capitaine s'exprimer:

Il s'est assoupi ?
Avez-vous pu lui dire quelques mots ?

Fanfan intervint timidement:

Il me semble qu'il a de nouveau perdu connaissance, Capitaine

Mais elle fut moyennement rassurer quand elle vit Lipsis intervenir et dire:

Capitaine, nous allons tout faire pour le remettre sur pieds. Il est solide mais le physique n'est pas seul important...

Omby me regarda allongé dans mon lit, silencieuse et se rapprocha aussi du bord de lit.

Il s'est assoupi ?
Avez-vous pu lui dire quelques mots ?

Je viens de voir la Médicastre, les visites sont conseillées mais pas trop longues afin de ne pas nuire à sa guérison et le fatiguer.

Liptis s’approcha et chuchota

Capitaine, nous allons tout faire pour le remettre sur pieds. Il est solide mais le physique n'est pas seul important...
Fanfan intervint timidement:

Il me semble qu'il a de nouveau perdu connaissance, Capitaine

Mais elle fut moyennement rassurer


La jeune Polgara salua respectueusement son officier supérieur et lui offrit un timide sourire d'encouragement

Beauz vit beaucoup de monde autour de lui. Ça lui fit chaud au cœur. Entre perçu des visages qui lui semblait familier.

Puis avec la fatigue la fièvre le repris

Il vit trois belles amazones cru être au paradis des guerriers.

Leur dit: Vous êtes mes walkyries ?nous sommes au paradis ? Essaya d’écouté et de voir leur beau sourire et s’endormir et la fièvre s’estompa par miracle.

Puis dans un effort ré ouvrit les yeux et l’esprit plus vif sans la fièvre.

Leur souffla merci a tous de votre visite vous me donnez du courage. Merci et se souvenant d’avoir confondu Omby, Fanfan et Polgara merci mes walkiries et leur fit un sourire.

Tendit sa main a Fanfan son Amour et a son amie Omby,puis fit signe a Liptis qui voulez se reposé.

Soufla a Fanfan avant qu'elle sorte dormir un peu, demain reviens je t'aime
et s’endormir apres avoir versé quelques larmes de bonheurs d'avoir reçu de telles visites.

entrant de nouveau dans la chambre du lieutenant elle fut saisi par l'odeur emplissant encore les lieux. plissant le nez tant par l'écoeurement que par ce que cela signifier.

bonsoir liptis, comment se porte t'il ? la fièvre tombe t elle ?

elle avait parlé presque a voix basse en s'approchant. et glissa sa main fraîche sur le front encore brûlant de beauziac. laissant passer une moue dépité.
déposant son panier sur une table elle se tourna vers liptis,

va prendre une pose liptis, mange un morceau et va te reposer je vais prendre la relève prés de lui. feff et poilinette prendrons la relève après. si tu peux les prévenir.
à et j ai apporter de quoi écrire, il faudra que chacun de nous note les soins et ses constats pendant sa garde pour que nous sachions toujours l'évolution de son état.