[RP][Petit Coin des Artisans] == Bureau d'intendance du petit coin des Artisans. ==

Dans son bureau, Harpagon est roi. Personne ne peut venir l'importuner pour obtenir des marchandises ou de l'argent sans une vraie raison. Car l'argent, voilà ce qui est roi! Voilà ce qui est tellement important que pour lui demander quelques écus il faille un dossier bien construit!

Harpagon est le responsable de l'ordre au sein du Coin des Artisans. C'est lui qui coordonne l'arrivée des marchandises, trouve les meilleurs prix, fait en sorte que tout aille bien. Lorsque l'on a une grosse commande qui implique plusieurs secteurs, on va le voir lui, et nul autre. Et là, il faut être sûr de ce que l'on fait, et sûr de ce qu'on dit.

La salle où il travaille est très sobre: un bureau au centre, une chaise pour lui, une pour un visiteur. Pas plus, cela coûterait trop et ne servirait à rien.

Pas de tableaux aux murs, juste une fenêtre sans rideaux qui donne sur l'extérieur. Pas de commode, de fleurs, ou d'autres bureaux. Cela ne servirait à rien.

Pas de tapis non plus ni de tapisseries, voilà le comble de l'inutilité et de la dépense incongrue.

Néanmoins... un objet traîne au fond de la salle sur le sol, directement contre le mur; et cet objet-là, lui, il sert: un coffre-fort.

Dans celui-ci sont conservées toutes les commandes qu'il reçoit et celles qu'il doit faire. Ainsi que, bien évidemment, les rentrées d'argent qu'il a. Car dans son bureau, on paye comptant. Pas de prêt, pas de crédit.

S'il y a une chose à mettre à son actif malgré tout, c'est que c'est un travailleur acharné, et fiable. On raconte qu'il dort même dans son bureau, à côté de son coffre-fort, pour être sûr que les commandes sont traitées en temps et en heure (et aussi bien sûr pour être sûr qu'on ne le vole pas).

Harpagon a toujours un petit sourire carnassier quand on lui parle d'argent; mais quand on a besoin de ses services, il faut être prêt à subir un déchaînement de questions.

Une affiche sobre est placardée à l'entrée; elle dit:

Citation :

Intendant Harpagon

[HRP: pour les commandes, tenir compte du personnage Harpagon! /HRP]

Néfi était débordé ce jour, la préparation de l'opération l'accaparer et il fallait aussi faire les soins des arrivants organiser les nouveaux projets, former ses deux adorable assistants et la elle se dirigeait vers l'intendance.... et elle savait d'avance et seulement de réputation que ce ne serais pas choses aisé que d'obtenir sa commande...
Elle ne connaissait pas encore Harpagon mais les ouïes dire sur sa personne n'était pas bien flatteuse. Voyant enfin le bâtiment se profiler à l'horizon. Elle prit une profonde inspiration et souffla un bon coup. Pour sur elle ne se laisserait pas démonter. Elle en avait maté de sévère et une cambraisienne ça ne lâche rien.
Elle stoppa quand même un moment avisant non loin de la une fontaine. Elle s'approcha et se mira dans l'eau limpide du bassin, elle remit en place quelques mèches rebelles sortant de sa coiffe, lissa son uniforme de soigneur de l'ost rajustant au passage ses galons ça peu toujours servir, se pinça les joues pour leur donner bonne mine et se mordilla les lèvres histoire de les rendre plus rouge...
Elle ne prêtait même pas garde à la foule autour d'elle, les artisans s'activaient en tout sens, se hélant, riant d'un étale à l'autre sur une blague salace d'un forgeron bien luné...

"Bien allons-y sir Harpagon me voilà prête pour l'affrontement"

Ses rouleaux de parchemins bien calés sous son bras elle arriva devant la porte et toqua avant d'entrée sur l'invitation d'une voix nasillarde et fort déplaisante.

Bonjour sir Harpagon, je suis Néfi soigneur de l'ost et je viens vous passer une commande d'outil chirurgicaux et d'une table de soin particulière.

Harpagon entendit quelqu'un toquer à la porte trois coups secs. Il releva la tête, visiblement énervé d'être dérangé à cette heure, pour quelque chose qui serait sans doute inutile et bien superflu.

Et bin tiens... trois coups... et pourquoi pas dix s'pendant qu'on y est! Encore quelqu'un qui... mouarf... grmmmblmlbmlb

Il attendit quelques secondes, histoire de faire patienter le visiteur dérangeant, puis dit à haute voix:

Moui? Entrez voyons, vous z'attendez quoi?

Il vit une Dame entrer, et repéra directement ses galons et sa tenue vestimentaire. Encore quelqu'un qui utilisait tout son argent dans ses vêtements... et bin tiens! lui, il avait toujours les mêmes habits et s'en portait tout aussi bien!

Ah les femmes, toutes les mêmes... toujours dispendieuse... il avait bien fait de ne pas se marier!

Il attendit qu'elle s'avance, et dit d'un ton légèrement agacé comme elle ne prenait pas la parole:

Et bin... vous z'attendez quoi mon enfant? le temps c'est de l'argent... pressons, pressons...

En même temps, il la scrutait de ces yeux inquisiteurs pour voir ses réactions. Et de sa main gauche, il jouait avec deux pièces de monnaie, pièces qu'il ne quittait jamais des mains. Ou des yeux, car son oeil gauche était légèrement divergent.

nefi resta de marbre, face à l'homme qui visiblement la tester et essayer de l'intimider. il savait pas encore à qui il avait à faire celui-là et visiblement la prenait pour une oie blanche. mais il apprendrait vite, pas pour rien qu'on l'appeler chéfi à cambrai.

tout d'abord le bonjour sir Harpagon, si le temps est de l'argent la politesse est une richesse.
ensuite ne m'appeler point votre enfant si s'était le cas de le saurais. je suis soigneur nefi pour vous !!
de plus c'est vous qui perdez du temps je viens de vous dire la raison de ma venue vous l'auriez entendu si vous n'étiez point en train de marmonner tout seul.
je n'ai moi non plus point de temps a perdre et la vie d'un soldat à sauver. je suis venus vous passer une commande urgente. alors cessez votre tentative d'intimidation. voici la liste de mets besoin je garde les croquis pour les artisans car je ne penses pas que vous y entendiez grand choses.

elle lui tendit son parchemin.

Citation :

commande du soigneur nefi pour l'hôpital de l'ost
soin du soldat ice.

pour le forgeron :

trépan,
écarteur,
bistouri,
lime,
ciseau,
petit marteaux,...

pour le menuisier :

table d'opération.

Harpagon écouta la Dame, calme, mais violente dans ses mots; enfin l'écouta... disons qu'il écouta le début de sa tirade, puis partit dans un de ses éternels et interminables grommellements, à base de:

Mouarf... la jeunesse... aucun respect pour les anciens... mouarf... cette insolence... grmmmlbmlbmll

Lorsqu'elle aborda le problème d'outils, donc de création, donc de marchandises, et donc d'argent, il releva la tête, et se mit à écouter à nouveau. Il haussa un sourcil, les fronça ensuite un peu, puis répondit:

Bon... de toute évidence... il y a sujet important là... je vais donc organiser tout cela...

Mais...

Il fit une pause, et reprit:

Si nous devons réaliser les outils rapidement... il y aura surplus d'efforts, abnégation des artisans... donc cela appelle... hum... une compensation je pense.

La regardant de ses yeux vicieux, il rajouta, en souriant étrangement:

N'est-ce pas... mon enfant?

En même temps, il regarda la liste et son esprit se mit à faire des calculs de coût.

elle le voyait marmonner pendant qu'elle parlait mais poursuivit quand même. elle le vit se redresser en entendant sa commande.

"ben tiens regarde le ce vieux gripsou tu parle d'argent il s'illumine comme un feu de joie"

Bon... de toute évidence... il y a sujet important là... je vais donc organiser tout cela...

Mais...

Il fit une pause, et reprit:

Si nous devons réaliser les outils rapidement... il y aura surplus d'efforts, abnégation des artisans... donc cela appelle... hum... une compensation je pense.

elle le regardait un air de défi dans le regard devant ses yeux fuyant et pervers avant qu il ne ponctue par un ...

N'est-ce pas... mon enfant?

elle préféra ne pas relever, ça lui ferais bien trop plaisir.

belle mentalité, la vie d'un homme à donc un prix selon vous ? il me semble mon cher que vous êtes ici pour répondre au besoin de l'ost et de son hôpital, et point pour faire des bénéfices, je ne suis point là pour vous passer une commande de matrone. mais pour demander le matériel nécessaire au soins prodigués par l'hôpital de l'ost pour lequel je suis soigneur.
cessez donc de palabrer la vie d'un homme est en danger.

elle le regardait faire ses petit compte griffonnant son parchemin barrant des chiffres réfléchissant de nouveau recomptant une colonne...
prenant son mal en patience elle se dit qu'il lui faudrait plus de temps pour convaincre cette vieille bourrique que de fabriquer elle même son matériel.

nefi a écrit:

belle mentalité, la vie d'un homme à donc un prix selon vous ? il me semble mon cher que vous êtes ici pour répondre au besoin de l'ost et de son hôpital, et point pour faire des bénéfices, je ne suis point là pour vous passer une commande de matrone. mais pour demander le matériel nécessaire au soins prodigués par l'hôpital de l'ost pour lequel je suis soigneur.
cessez donc de palabrer la vie d'un homme est en danger.

Tssss tsss tsss...

Harpagon ne prit même pas la peine de répondre, à peine grommela-t-il un: pas de respect pour les vieux d'nos jours... mouarf...

Le reste se perdit, bien heureusement dans sa petite moustache qu'il mordillait constamment. Il baissa les yeux, finissant ses calculs d'après la feuille, et rajouta, d'un ton énervé:

Bon... vous z'avez écrit quoi là! Je vois pas moi! ... Mes lunettes, où sont-elles par la barbe de bouc... vous z'auriez pu mieux écrire, en lettres plus grosses, au lieu de venir vous plaindre... m'enfin bon... passons, je suis habitué à l'indélicatesse et au manque de tact des jeunes... des jeunes séductrices!

Il ne la regarda même pas réagir, et se leva de sa chaise pour aller dans son coffre-fort. Regardant d'un oeil méfiant la soigneuse, pendant que de l'autre oeil il regardait le coffre et faisait la combinaison, il l'ouvrit et prit ses lunettes. Il rajouta, pour lui, à haute voix:

Que de temps perdu... mais par Aristote, que de temps perdu...

Il revint vers elle, et lui dit d'une traite:

Bon mon n'enfant... de toute évidence vous m'avez l'air nouvelle... laissez faire les professionnels... je vais m'occuper, même si cela me prend beaucoup de temps et d'arg... et d'efforts... de votre commande... je vais m'assurer qu'on a toutes les matières, et ensuite je lancerai la production... je fais le plus vite possible, c'est entendu.

Avant qu'elle ne puisse acquiescer ou non, il se rassit et lui montra d'un oeil la porte.

le laissant marmonner dans ses moustaches un truc incohérent sur la jeunesse et ses moeurs, son ancienneté à l'hôpital et ses moeurs soit disant séductrice. elle préférait resté de glace observant son manège avec le coffre dont il sorti ses lunettes sorte d'atroce culot de bouteille cerclé d'un mauvais métal dont l'alliage laissait à désirer.

"du bien mauvais travail, voilà ce qu'apporte la radinerie...
non mais regarde moi ce gus avec son allure suffisante tellement prés de ses sous qu il en est tout crochu de partout a force de racler les fond de tiroir
je l'imagine bien gratter le sol juste pour ramasser un pauvre denier
"

elle l'entendit enfin lui dire qu il s'occuper de sa commande.

"eyh bien dit donc pour un homme qui considère que le temps c'est de l'argent je le trouve bien lent à la détente enfin j'espère qu il attendra pas la saint glinglin pour se bouger. et regarde moi le me congédier comme une soubrette"

bien je vous en remercie intendant Harpagon. je vais de ce pas voir le forgeron et le charpentier pour discuter avec eux des plans pour les commandes.
bonne et fructueuse journée

elle fit cette dernière remarque sur un ton ironique l'accompagnant de son plus charmant sourire. avant de sortir en claquant bien la porte pour faire voler ses parchemins sur son bureau....

faites qu'aristote ne vous amènes pas sous mes mains de soigneurs mon cher je vous montrerais à quel point le temps est précieux quand on souffre.

Hum?

Harpagon releva la tête en entendant un coup sec tapé à la porte; il se demanda si c'était l'autre jeune séductrice qui était revenue. Sans doute pas, elle aurait tapé plusieurs coups à la porte... par stupidité sans doute.

Comme s'il était sourd! Avait-elle pour but de lui faire comprendre qu'il était plus âgé qu'elle?! Arf, quelle méchanceté...

Il leva le regard, et d'une voix hargneuse, il dit:

Bon, n'attendez pas dehors là! Entrez!

Harpagon regarda l'homme entrer; assez grand, fort, l'oeil simple. Vêtu simplement aussi, et façon de s'exprimer lapidaire. Bien. Ca changeait de l'autre.

Il l'écouta, puis haussa les épaules d'un air désinteressé. Il répondit:

Bon... d'accord. Bien. On vous a mis au courant pour les payes? Moi, je ne donne rien, vous vous débrouillez avec les autres...

Il le regarda, puis se leva de sa chaise, et rajouta:

Bon, autre chose? Je n'ai pas le temps là.

Il fronça un sourcil, et jeta un coup d'oeil à la porte.

Bry entra quand il entendit la voix la plus aigrie du quartier le lui ordonna. Il se découvrit, et prit son plus grand sourire. Il dit d'une voix simple:

Bonjour Monsieur l'intendant, je suis Brylastar, le forgeron. Juste pour vous dire que j'ai réalisé la commande d'outils pour l'Hospital.

Il prit un temps, devant l'air visiblement énervé de l'intendant, et reprit:

Enfin voilà, ce travail m'a coûté, et je suis censé rapporter à l'intendant tous mes coûts... donc voilà, je viens vous voir pour être rémunéré.

Il haussa un sourcil, attendant une réponse de l'intendant.

Harpagon rougit d'un coup; non mais, quel toupet celui-là! Venir lui demander de l'argent, sous prétexte qu'il avait travaillé! Alors que lui, pauvre Harpagon, travaillait toute la journée, sans jamais demander quoi que ce soit!

Il rougit de colère encore plus, et dit d'une traite, en se levant, tremblant comme une feuille:

Non mais dites donc! Vous avez fait votre travail, ne vous plaignez pas! Vous venez de réaliser une commande pour l'Hospital, alors hein! Ne pensez pas uniquement à votre argent, Sire Brylastar.

Vous voulez savoir quelque chose Sire? Vous êtes un pingre, vous ne penser qu'à vos deniers, non mais!

Harpagon allait continuer comme cela, quand il fut surpris en voyant Brylastar éclater de rire. Il fronça les sourcils, appuya jusqu'à s'en faire mal de ses mains sur son bureau, et demanda:

Non mais... non mais si je vous dérange, dites-le moi!

Devant l'hilarité de Bry, Harpagon fut désarçonné. Il n'avait aucune idée de ce qu'il pouvait faire, car Bry ne s'arrêtait pas de rire. Il le regarda, puis abandonnant devant la bêtise énorme du forgeron, il alla vers son coffre-fort. Il avait réfléchi à la commande, et avait déjà fait les comptes. On ne savait jamais.

Il continua de grommeler, puis alla chercher la bourse toute prête pour le forgeron hilare. Il revint vers lui, et la lui jeta dans les bras sans autre considération. Il rajouta simplement:

De mon temps, on respectait les anciens... je ne vous montre pas la sortie.

Fou de rage, l'intendant ferma les yeux, enleva ses lunettes, et se mordit la langue. Il attendit d'entendre le bruit de la porte qui se fermait pour se remettre à grommeler des phrases incompréhensibles dans sa petite barbe.

Bry n'avait pu s'empêcher d'éclater de rire quand il avait entendu l'intendant le traiter de pingre; il s'en voulait, mais pas assez pour reprendre contenance. Il savait qu'ainsi il s'était grillé auprès de lui, mais ne pouvait pas s'en empêcher. Des larmes apparurent même aux commissures de ses yeux.

Il le vit se lever, aller vers son coffre, puis en revenir avec une bourse qu'il lui jeta dans les mains. Il put à peine articuler:

Je suis désolé..... vraiment.....

Puis, repartit dans un fou rire, et c'est encore en riant qu'il sortit de la pièce. L'air frais le calma un peu, et après quelques minutes, il était à nouveau maître de lui. Il regarda derrière lui, craignant voir l'intendant accourir à nouveau, mais il n'en fit rien.

Bry sortit alors de l'intendance, et retourna vers son échoppe en souriant de cette entrevue particulièrement... atypique!

Harpagon avait fini plus tôt que d'habitude son travail de comptable; pour l'instant, tout allait bien, les artisans ne perdaient pas d'argent, le fort non plus. Et lui en gagnait sur les commissions. C'était normal, il faisait bien le travail le plus difficile, car lui devait réfléchir. Alors que ces sots d'artisans ne faisaient qu'utiliser leur force physique. Lui, il avait le cerveau.

Il se leva, et s'étira. Il chercha ses lunettes, mais ne les vit pas tout de suite. Il ne les avait pas sur le nez, donc elles devaient être dans le coffre-fort. Il y alla, mais non, elles n'y étaient pas. Il grommela d'impatience, se mordilla la moustache, et se demanda à voix haute où elles avaient bien pu aller.

Non mais dîtes-donc, où sont-elles passé ces satanées montures... j'espère qu'elles ne se sont pas caché, j'en ai besoin moi... Et avec des montures d'or... quelqu'un a dû les voler... non mais... c'est toujours pareil, les gentils travaillent... et les pauvres les volent... de mon temps...

En disant cela, il posa son regard sur le sol, et les vit. Par terre, dans la poussière, les montures d'or! Il se baissa, ce qui lui rappela ses rhumatismes, et il grommela encore plus. Quelle bêtise, quelqu'un avait dû les faire tomber.

En se relevant, il soupira un peu, puis se rappela qu'il devait aller passer voir la blanchisseuse, la petite Dame qu'il n'aimait pas parce qu'il ne la comprenait jamais... mais... elle n'était pas venue tenir ses comptes; il devait donc passer.

Il prit son manteau, et sortit en direction du lavoir.

Harpagon, qui n'avait pas pu obtenir les accès au bureau du Sénéchal, revint trempé et encore furieux à son bureau. Il grommelait mille choses, et sentait tout un flot de sentiments de rage couler en lui. Son coeur battant trop vite, il résolut de se calmer un instant.

Bien bien... la Capitaine, cette écervelée, ne veut pas me donner les accès... et bien on va attendre la cérémonie d'inauguration alors!

Et j'aurai ma vengeance de ce petit freluquet et de son amante!

Incapable de retourner travailler, il alla se changer, puis s'assit dans un fauteuil, devant la cheminée, réfléchissant à la meilleure manière d'aborder le Sénéchal.