[rp ] l'herboristerie

elle lui tendit les sachets de plante,

voilà même prescription que la dernière fois et je viendrais personnellement contrôler tes repas, je passerais d'ailleurs voir la cuisinière et rufus pour un traitement spéciale.

tu peux y aller, je ne voudrais pas te retarder plus.

précédent Jj elle poussa la porte de l'herboristerie avec toujours le même plaisir, y entrant elle invita la jeune femme à faire de même et se dirigea vers les étagères pleines de bocaux de céramique.

je n'en est pas pour longtemps assied toi si tu veux.
tu te souviendras des conseils ou tu veux que je te les notes ?

prenant un flacon vide elle le remplit d'huile et y dosa avec un pipette un nombre bien précis de gouttes d'huile de lavande. elle reposa un bouchon de liège sur le flacon et secoua énergiquement.

Elle avait sagement suivit nefi jusqu'à l'herboristerie ...

m' assoire ? non non ça ira ,merci
euh pour les conseils oui je veux bien que tu me les notes, c'est que je suis blonde quand même ! héhé

Jj grimaça en voyant nefi faire son drôle de mélange , la pauvre s'imaginait déjà l'imaginable.

Je ...je vais devoir le boire ??

elle rit en entendant la remarque de jj

en effet j'ai confirmation il faut que je te le note.
non une fois épilé tu devras appliquer le mélange sur ta peau, dans la zone envahie. les petites bêtes n'apprécie pas trop la lavande, et l'huile les étouffes. tu devrais être tranquille dans quelques jours.

elle prit un morceau de parchemin et commença à noter ses explications le plus clairement et précisément possible. Puis elle donna le tout à la jeune femme.

voilà si tu as de nouveau besoin de quelques choses n'hésite pas à revenir.

Jj prit le parchemin ainsi que la bouteille d'huile de lavande
Oh , merci beaucoup néfi je ne sais pas ce que j aurai fait sans toi , Non je n' hésiterais pas à revenir en cas de besoin

Jj bisouilla nefi grace à elle les bêbêtes allaient disparaitre ...La fausse brune repartie en sautillant de joie ^^
bonne journée nefi !!!

Erinne surpris le regard de la reportrice, aussi dangereuse qu'elle avait un visage d'ange. Elle lui servit une petite liqueur et la lui apporta. Elle soutint son regard sans bronché

- Voici pour vous. petit sourire en coin. Ne vous faite pas d'illusion tout ceci est un don personnel quand aux liqueurs se sont des fabrications maison. Alors que nous vaut l'honneur de votre visite en ces lieux?

Elle la regarda, soupesant le degré de dangerosité de la dame. Elle avait été bien avisé d'allumé le feu plus tôt dans la journée.

- Voici pour vous.

Le petit sourire en coin de son hôte ne lui échappa point.

Ne vous faite pas d'illusion tout ceci est un don personnel quand aux liqueurs se sont des fabrications maison. Alors que nous vaut l'honneur de votre visite en ces lieux?

Ombeline ne répondit point de suite et leva son verre à la lumière, observant la couleur de cette liqueur.

Visite à la fois de courtoisie et professionnelle.
Vous faites des petites liqueurs maison, intéressant. Recette familial ou reprises dans les paperasses en ces lieux ?
D'ailleurs, à quoi est-ce celle-ci ?

Erinne regardait Ombeline détailler la liste, et sourit à sa réponse.

Citation :

Oh, pas la peine d'aller importuner Lou pour ce genre de détails.
Autant que cela reste entre nous, entre FEMMES !
Bien, voyons voir ce que vous avez comme petits nectars à déguster.
Allez, je suis partante pour débuter par les fruits et baies !

Elle la regarda finir son verre d'un trait, sacré descente la reportrice. Erinne se dirigea vers un petit placard et l'ouvrait pour en sortir les différents flacons de liqueurs qui manquaient sur la table quand des cris retentirent dans le couloir. Elle se redressa d'un bon, refermant du pied les portes du placard. Elle se tourna vers la porte, un mince filet de fumée passait par le bas. Elle se précipita non pas vers la porte mais vers un autre placard pour vérifier qu'il était bien fermé à clé, et que la clé était bien au bout de la chaîne attachée à sa ceinture. Il ne faudrait pas qu'une mauvaise ame vienne se servir dans les poisons qu'elle y entreposait pour ses recherches.

Rassurée elle se précipitât vers Ombeline et, lui attrapant le bras, elle l’entraîna à sa suite, ouvrant la porte d'un coup. Quelque chose titillait son esprit, mais elle n'arrivait pas à savoir quoi.Elle mit ça de coté, se concentrant sur l'urgence. Pénétrant dans le couloir elle marcha sur un chiffon auquel elle ne prêta pas attention en premier lieu. D'abord mettre la jeune femme en lieu sur, puis chercher où était le feu.

Elle progressait dans le passage, se protégeant le nez et la bouche d'une écharpe, ayant invité Ombeline à en faire autant, pensant trouvé plus de fumée dans le couloir. Chose étrange :plus elles avançaient et plus la fumée se dissipait. Aucune trace de l'individu qui avait donné l'alerte, d’ailleurs que pouvait-il bien faire ici? Elle s’arrêta et observa. Sa petite cervelle avait déclenché une alarme en elle. Se tournant vers la directrice elle lui dit

- Ecouté il y a une chose d'anormal et j'aime pas ça. Faite comme vous voulez mais je soupçonne qu'il n'y a aucun incendie ici. Je retourne à mon bureau tirer ça au clair. Voulez vous me suivre ou faire preuve de prudence?
[i]

AU FEU, AU FEU...

Des cris dans le couloir interrompirent sa rêverie sur les futures liqueurs à savourer. Ombeline se redressa sur son siège, le minois interloquée.

Saperlipopette, que se passe-t-il donc ?

Erinne la rejoignit bien vite et l'attrapa par le bras afin de la conduire au dehors. La porte ouverte, de la fumée s'engouffra à l'intérieur.

Est-ce bien prudent ?

Pénétrant dans le couloir, son pied s'enchevêtra dans quelque chose, elle faillit se rétamer au sol mais Erinne servit de contre poids en quelque sorte du fait qu'elle lui tenait le bras. Ensemble, elles progressèrent dans le couleur enfumé. Ombeline plissa les yeux à plusieurs reprises, et fut prise d'une quinte de toux, gênée par cette fumée.

Elles finirent par déboucher sur une zone, dénuée de fumeroles. t

- Ecoutez il y a une chose d'anormal et j'aime pas ça. Faite comme vous voulez mais je soupçonne qu'il n'y a aucun incendie ici. Je retourne à mon bureau tirer ça au clair. Voulez vous me suivre ou faire preuve de prudence?

Nan, je me range à votre avis.
Et cette voix, je ne sais mais ... enfin ... bien que je n'y ai pas prêté grande attention sur le coup ... en y resongeant, me semblait vaguement familière.
Néanmoins, s'il s'agissait d'une sorte de guet-apens pour dévaliser votre herboristerie ... car vous y avez tout de même bon nombre de produits qui pourraient servir pour de mauvais desseins ... ne devrions pas donner l'alerte et appeler quelques renforts ?

Citation :

Néanmoins, s'il s'agissait d'une sorte de guet-apens pour dévaliser votre herboristerie ... car vous y avez tout de même bon nombre de produits qui pourraient servir pour de mauvais desseins ... ne devrions pas donner l'alerte et appeler quelques renforts ?

Erinne regarda la jeune femme, c'est aussi se qui l'inquiétait.

- Avant d'alerté tout l’hôpital tachons de trouver d'ou cela peu venir, j'imagine mal une troupe de brigand s'en prendre à un hôpital militaire.

Elle reprit le chemin de son bureau. Arrivé au seuil elle découvrir la fripe qui fumait encore pas complètement brûlée. Elle se mit à genoux et, avec sa dague, elle souleva la chose constatant que ça avait du être une chemise dans une vie précédente. A quoi cela rimait il?

Elle entra dans son bureau soupçonneuse. Son regard se porta en premier sur l'armoire aux poisons, puis fit le tour de la pièce sans rien remarquer de suspect. Une foule de question se bousculaient dans sa tête, sans trouver la moindre réponse. Peut être qu'Ombeline avait raison et qu'il serait plus prudent de sonner l'alerte.

Elle ouvrit la fenêtre pour chasser la fumée, jetant un oeil dans la cour. Elle sourit rassurée, une troupe de garde était en faction à la porte principale, finalement la mobilisation avait du bon. Elle déposa le restant de chemise sur son bureau et l’observa, cherchant un indice sur son propriétaire.