salle de soins des hommes

Brunehaut passant non loin de la chambre de Drenth, s approchat discretement voir si il ne manquait de rien, elle vit un bon nombre de personnes à son chevet, et se dit que sa présence à ses côtés n etait plus utilie.
Elle continuat son chemin en direction du bureau des infirmiers....

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Elle regarda et écouta sa réponse.

Entendu capitaine. Euh... avant que vous ne partiez pourrais je vous demander un service? Pourriez vous faire savoir à ma soeur que je ne pourrais pas aller la voir comme convenu? Celà dit il est inutile de lui dire pourquoi. Celà ne ferait que l'inquiéter pour peu de chose, aprés tout ma vie n'est pas en danger...
...du moins elle ne l'est plus. Elle s'appelle Becky... euh... je veux dire Rebecca Basset, elle tient la taverne de Miraumont.

Un service... oh mais pas de soucis Drenth. C'est la moindre des choses que je puisse faire... donc une soeur.. tiens, je ne savais point que vous en aviez une. Et bien, ce sera chose faîte, je lui écrirai.

Elle sortit de sa veste son calepin fétiche et nota d'une écriture claire et lisible le nom de la dite soeur, puis releva la tête vers le soldat.

Miraumont ? Où est-ce donc ?

Ombeline sentit la présence rapide de Brune qui repartait déjà, elle se dépêcha d'aller jusqu'à la porte.

Infirmière Brune, je voudrai vous parler, attendez moi quelques instants. Je reviens.

Ombeline retourna auprès de Drenth et répéta donc sa question.

Où est-ce donc ?

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Miraumont? Euh...

Drenth s'attendais à ce que tous connaisse son village natal. Mais pourquoi celà aurait il été le cas.

Je dirais à mi chemin d'Arras et de Péronne, une route, non plutôt un chemin, part de l'axe principal vers l'ouest à hauteur de Bapaume. Merci capitaine. J'essayerais de vous revaloir cette faveur.

Se sentant trop las pour faire quoi que ce soit il se tourna vers Loanne.

Je vous remercie pour la nouriture et excusez moi pour la question indiscrète de tout à l'heure. Si vous ne voulez pas me faire l'aumône de votre nom c'est vôtre droit. Maintenant excusez moi tous mais serait il possible que vous repassiez plus tard? Je comprends bien que vous êtes là pour mon bien mais je souhaiterais avoir un peu d'intimité.

Redoutant avoir été un peu trop agressif il ponctua sa phrase d'un sourire géné.

Tenebrae ne se le fit pas dire deux fois et sortit de là sans demander son reste en attente de la suite.

La capitaine ayant demandé a Brune de l'Attendre.

Et ce Drent était bien en droit de désirer de l'intimité.

Brunehaut attendit la capitaine dans le couloir, elle se dit qu elle voulait peut etre lui presenter la nouvelle recrue

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Loanne sortit et souria au soldat Drenth, en sortant elle vut Brune, et lui dit:

On se retrouve au bureau des infirmier infirmière Brunehautdartois...

Elle s'en alla dans le bureau...

Bon et bien, je prends bonne note du lieu.
Nous allons vous laisser vous reposer Drenth, mais vous avez une sacré chance dans votre malheur, vous allez être comme un coq en pâte avec toutes ses infirmières autour de vous.^^
Je vous laisse et bon repos et n'oubliez pas ce que je vous ai dis, ne bougez pas d'un yota d'ici. Je serai au courant de vos faits et gestes enfin euhh de votre état de santé surtout... n'allez point croire que je vous espionne.

Elle se dirigea vers la porte et retrouva dans le couloir les jeunes femmes. La Capitaine demanda à Tiberre de les rejoindre aussi afin de laisser le soldat se reposer.

Et bien, donc, je vais faire les présentations. Voici Tenebrae, une nouvelle recrue tout comme Loanne. J'espère que vous vous entendrez à merveille.
Infirmière Brune, j'aimerai vous parler personnellement. Allons dans mon bureau ou celui du recrutement, si vous le voulez bien. Je vous y attends dès que vous serait libre. Loanne et Tene vont pouvoir visiter l'hôpital et faire ensuite un tour en taverne si elles le désirent, une petite pause ne serait point un mal.

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Drenth en dressant le cou parvint à profiter des présentations au même titre que les intéressés. Il grava les noms et les visages dans sa mémoire. Ce petit effort lui coutat beaucoup mais sa curiosité ne le tarauderait plus à ce sujet. La personne qui l'avait nourri s'appellait donc Loanne et l'autre nouvelle infirmière s'appellait Tenebrae. Drenth connaissait à présent les noms de l'ensemble du personel soignant de l'hospital, du moins il pensait les connaître.

Tiberre fut prit de cour par les paroles de drenth, car il allait exprimer la même intention de faire sortir tout les présent...4 personnes a sont chevet, cela en faisait 3 de trop, seul un infirmière ou une infirmière aurait suffit, mais bon, au moins, il était sur la voie de la guérison.

Excusez moi soldat, vous avez raison, nous allons prendre congés, pour ce qui est de l'urgence, certainement quelqu'un va resté avec vous, moi, je suis dans la salle d'a coté, un simple cri et je serai là.

Aurevoir.

Tiberre sortit, et rentra dans la salle des visites.

Les présentations faites, Tenebrae écouta les consignes de sa Capitaine et alla a la recherche de la taverne...

Peut etre y verra t elle des connaissances !

Une fois que tout le monde fut sorti Drenth put se défaire de son visage impassible. La douleur enfin libérée des entraves qu'il avait tissé ravagea tout sur son passage, déforma ses traits, le tétanisa, le laissant comme une coquille vide. Incapable de bouger, de voir, d'entendre, de sentir et même de penser Drenth ne tarda pas à sombrer dans un sommeil qui ressemblait beaucoup à une perte de conscience.

Tiberre passa dans la nuit voir comment le soldat aller, il entra avec douceur, il respirer convenablement et ses bandages n'avaient pas bouger.

Il se raprocha de l'homme, mais fut inquiet, en regardant ses yeux, les pupils étaient compétement vers le haut...ce n'était pas très bon, dans l'affolement, il se mit appeller le soldat, s'il se réveiller, plus de peur que de mal, sinon, fallait intervenir...

Drenth, Drenth, réveilles toi....

Drenth flottait dans le vide plus aucune conscience, plus même celle d'éxister. Celà était tellement paisible, tellement relaxant.

Hein... Qui me parle?

Drenth pensait avoir parlé mais aucun son n'avait franchi ses lèvres. Celà n'était pas le monde réel, il devait réver. Prenant sur lui Drenth ouvrit péniblement les yeux.

Ah... c'est vous Tiberre... je dormais... profondément... Celà fait déja un moment que vous m'appellez n'est il pas? Je suis désolé de ne pas vous avoir répondu avant.

Dans le rêve dont il venait de sortir tout était si paisible... mais était ce réellement un rêve? Drenth prit soudain conscience ce qu'il tremblait et fit de son mieu pour le réprimer.

Tiberre fut prit d'un grand soulagement, mais les tremblements du soldat resté inquiétant, alors ni une, ni deux, l'infirmier attrapa des couverture pour les poser sur l'homme et de le tenir au chaud...

Dsl de vous avoir réveillez, mais j'ai eu peur, mais là, vos tremblements sont assez effrayant, couvrez vous, restez au chaud, et rendormez vous, il vous faut du repos. Je repasserais. Bonne nuit.

Drenth remercia Tiberre pour les couvertures bien que ce ne fut pas le froid qui le faisait trembler. Aprés que son visiteur nocturne fut parti il ne se rendormit pas. Le souvenir du calme absolu perçu quelques instant plus tôt était la cause de cette absence de sommeil. D'une part il se sentait totalement reposé, de l'autre il ressentait de la crainte quand à se laisser aller une fois encore au sommeil. Finalement Tiberre ne repassa pas. Peut être avait il lui réussi à s'endormir. En fin de nuit lassé d'observer la pièce où il se trouvait Drenth ferma les yeux et tendit l'oreille à la recherche des différents sons qui ne manqueraient pas de lui apprendre qui faisait quoi en cette heure. C'était sans compter sur l'épaisseur des murs. Il finit par se lasser également de cette activité qui ne donnait aucun résultats et il rouvrit les yeux. La luminosité était allée croissante, le jour s'était levé.

Brunehaut profita du calme environnant pour aller voir comment se porter le soldat Drenth, en principe c etait la jeune Loanne qui devait s en occuper, mais comme elle lui avait prodigué les premiers soins, elle s'assurait qu il ne manquait de rien et si sa nuit s'était bien passée....

Elle entra dans la chambre sans faire de bruit, la pièce était vide et il avait l air de dormir paisiblement...

Elle s'installat silencieusement à ses côtés pour le veiller un peu, et attendre qu il se reveille doucement...

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Drenth avait semblait il fini par s'endormir. Quand il s'éveilla il percut une présence. Toujours les yeux fermés Drenth tenta de reconnaître de qui il s'agissait. La respiration de cette personne était calme, reposée. Même si Drenth sut quasi aussitôt qu'il s'agissait d'une femme il fut incapable de reconnaitre de qui il s'agissait. Abandonnant son projet il ouvrit trés lentement les yeux, juste assez pour voir le visage de la personne qui le veillait. Ayant satisfait sa curiosité il referma les yeux de la même manière cherchant à ne pas se faire remarquer et ainsi la surprendre.

Bonjour Brunehaut.

Loanne arriva dans la salle de soins des hommes, et s'asseya à côté de Drenth et lui pris la main pour signaler sa présence et lui parla...

Bonjour Soldat...j'espere que vous allez mieu !

Je me suis occupée de votre chat personnelement..

Je vois que votre bandage tien à peine...après une journée et une nuit porté...

Je vais demander la permission a Brune ou aristo pour vous le changer...

Restée silencieuse, assise aux côtés de Drenth, lorsqu elle entendit lui dire bonjour d'une voix claire et reposée, elle fut soulagée de l'entendre, elle tourna son visage pour le regarder, son visage etait paisible, d'une voix douce elle lui repondit.

"bonjour, Drenth..."

mais se silence fut de courte durée, Loanne prenant son service, venait d'entrer dans la chambre. Sa gaieté naturelle allait aider le jeune soldat à reprendre des forces. Elle s adressat à Loanne, repondant à son interrogation.

"vous pouvez Loanne, surveillez bien la plaie, voyez si il ne faut de nouveau l enduire du cataplasme qui est là. Je vais restée à vos côtés un peu en retrait, ainsi si vous avez un doute, je vous aiderais..."

Elle s adressait à le jeune infirmière sur un ton tres doux , laissant au soldat le temps de reprendre ses esprits dans le calme et la quiétude....

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Bonjour Drenth.

A ce moment une main de femme se glissa dans sa main droite. Brune étant à sa gauche il y avait anguille sous roche. Drenth, qui n'avait entendu personne arrivé, fut surpris et faillit sursauter. Aprés avoir tourné sa tête vers la propriétaire de la main Drenth reconnu Loanne.

Bonjour Soldat... j'espère que vous allez mieu !
Je me suis occupée de votre chat personnelement.
Je vois que votre bandage tient à peine... après une journée et une nuit porté...
Je vais demander la permission a Brune ou Aristo pour vous le changer...

Drenth fut surpris d'entendre ces propos, et ce à plusieurs titres...

Vous pouvez Loanne, surveillez bien la plaie, voyez si il ne faut de nouveau l'enduire du cataplasme qui est là. Je vais restée à vos côtés un peu en retrait, ainsi si vous avez un doute, je vous aiderais...

Bonjour Loanne. Disons que tant que je ne bouges pas je ne souffre pas. Vous parliez d'un chat? Quel chat?

A ce moment, sentant sans doute que l'on parlait de lui, Lechat fit son entrée. Drenth commençait à comprendre.

Je ne comprends pas. Je l'avais laissé à la chappelle quand je suis retourné à ma mission de surveillance. Ne me dites pas que l'animal m'a suivi depuis Arras jusqu'à ma destination puis pendant le chemin du retour. Je veus dire celà serait improbable. Je l'ai acheté pour la chapelle le jour même où j'y suis allé. Je ne l'ai nourri qu'une fois... Enfin peu importe...

Drenth tourna un instant la tête vers Brunehaut, observa un instant ses épaules... Non... Rien n'y avait changé. Pourtant Loanne avait mis Brunehaut et Aristochate à la même enseigne... Retournant à ses préocupations immédiates il se tourna vers Loanne qui s'apprettait à défaire le bandage.

Puis je vous aider d'une quelconque manière?

Brune souriat à Drenth et laissa faire Loanne dans ses soins

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Loanne lui sourit

Vous êtes patient, pas aide-soignant ^^

Elle remercie Brune, avec toute la gentillesse possible....

Elle expliqua a Drenth chaque fait et gestes qu'elleferait sur lui

Je vais commençais juste par vous demandais de vous mettre sur le coté...pour que je puis dégraffer le bandage, tout doucement je déroulerais.

Elle tenda ses deux mains a Drenth pour l'aider a se tourner tout doucement

Vous ëtes pret ??

Elle entendit un mini ouioui

Bon 1,2, et 3 !!

elle tira un peu et il se tourna tout seul, poussant un petit cri de douleur, elle lui frotta la main pour le réconforter

Ce n'est que l'histoire du bandage, il ne faut aucunement s'inquièter !

Loanne déroula tour à tour le bandage, puis lui dit de se remettre dans sa position...

Vous êtes patient, pas aide-soignant.

Certes il n'était pas en position de faire beaucoup mais s'il pouvait lui faciliter la tâche...

Je vais commencer juste par vous demander de vous mettre sur le coté... pour que je puis dégraffer le bandage, tout doucement je déroulerais.

Saisissant les mains tendues pour prendre appui Drenth décida qu'il allait montrer à cette infirmière qu'il n'était pas si mal en point que ça.

Vous êtes prêt ??

Ouioui.

Tu vas voir ce que tu vas voir le mourrant va bouger tout seul.

Bon 1,2, et 3 !!

Drenth donna une bonne torsion au niveau du bassin pour prendre le moins possible appui sur les mains offerte et...

Gha!

Bel envol mauvaise réception se dit Drenth, un peu tard cependant. Loanne avait du entendre sa plainte, qu'il avait pourtant pris soin d'aténuer au maximum, c'est du moins ce qu'il déduisit du geste de réconfort qu'elle lui prodiga.

Ce n'est que l'histoire du bandage, il ne faut aucunement s'inquièter !

Le bandage défait la plaie apparut. Elle ne semblait pas s'être infectée, du moins aux yeux de Drenth. La croûte qui recouvrait la plaie était de couleur brune et lui semblait saine.

Vous pouvez vous remettre sur le dos?

Aussitôt dit aussitôt fait. N'ayant plus rien à prouver et ayant été quelque peu pitoyable lors de sa précédente tentative de se faire plus dur qu'il ne l'était en réalité Drenth se contenta de se laisser retomber sur le dos sans y mettre aucune force. Regardant vers Loanne puis vers Brunehaut, puis de nouveau vers Loanne Drenth attendait un verdict qui il l'espérait ne serait pas trop défavorable. Il n'était pas non plus anxieu il se demandais juste ce que le personel médical en pensait.

elle vut, sentit, que Drenth cherchez à jouer son dur...

Soldat, cessez-vos efforts, sinon je vous clou au lit de 2 jours de repos de plus que 3jours...

elle lui sourit puis se dirigea vers Brune, pensant qu'il ne fallait pas qu'il ne bouge, je ca lui ferait du bien de laisser la plaie à l'air..

Soigneuse....*sourit*, faut-il remettre du produit ?? La plaie est bien dégagée, je ne pense pas...à vous de voir...

elle attendit que brune lui réponde, et, en attendant ddemanda a Drenth de loin...

Soldat !! Comment ca va ?? Avez vous de fortes douleurs ??

Soigneuse? Drenth rejeta un coup d'oeuil vers Brunehaut. Diantre sa vue se mettait elle à luyi jouer des tours? Il n'avait pourtant pas révé tout à l'heure... Ou bien si... Préferant ne pas s'attirer de jours de repos supplémentaires s'il n'y en avait pas besoin Drenth ne dit mot à ce propos.

Soldat !! Comment ca va ?? Avez vous de fortes douleurs ??

Là? Maintenant? Euh... Non. Je n'irais pas jusqu'à dire que c'est la pleine forme mais la douleur... ça va.

En réalité Drenth payait encore le contrecoup de son précédent effort mais à vouloir jouer le malin...

Alors si je comprends bien Brune vous avez été promue? Félicitations.

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