Chambre

samantha et jehanne se prent dans les bras mais jehanne avais mal a sa blessure.

Citation :

Bon c'est pas tout ça, mais faudrait quand même se refagoter... on va finir par se faire remarquer dans cette tenue

oui tu a raison et puis je commence à avoir froit comme sa^^

samantha se rabilla

Citation :

Aides moi à me sauver de cet endroit... les hôpitaux me flanquent la chair de poule...
On va aller boire à nos retrouvailles sur la place d'Arras à la remise des pommes d'or !

oui moi aussi j'aime pas cette endroi et en plus ici on peut pas boire^^.

Ciel !!!
Prise en flagrant délit de tentative d'évasion, Jehanne se mordilla les lèvres à l'idée de devoir ôter à nouveau ses braies qu'elle avait déjà eu tant de mal à enfiler...
La soldate pensa un instant passer sur le corps de Liptis... ce qui aurait été un plaisir d'ailleurs... vu qu'avec Sam, elles étaient deux fois plus nombreuses que Liptis tout seul, mais un je ne sais quoi retint Jehanne.
Ahhhh ce qu'il était charmant ce Sire... difficile de résister à la tentation de rester encore un peu dans cet endroit malgré l'envie de s'enfuir qui taraudait la soldate !

Nous venons avec Sam de découvrir notre lien de parenté !
Aussi est-ce normal que ma p'tite soeur soit à mes côtés quand je vais mal !!!

Mais je ne pense pas avoir besoin d'une visite de contrôle vous savez...
J'me sens beaucoup mieux déjà !

Jehanne rougit légèrement en imaginant devoir montrer ses fesses à son prince charmant.
Elle espérait qu'il la laisse s'enfuir sans lui poser de questions !
Après tous, n'y avait il pas une loi interdisant aux médecins d'abuser de leur prérogative auprès de leurs patients... si Liptis l'auscultait, peut-être qu'il ne lui serait plus possible par la suite de lui faire des avances !!!
Et c'est toute tremblante et implorante que Jehanne s'accrocha à la veste de Liptis, pétrifiée à l'idée que de par son professionnalisme, il brise leur amour naissant.

Pitié... laissez nous partir !!!

[Toujours Robert, vous l'aurez compris]

Changer les draps! Robert il faut changer les draps!

Quoi? quoi? quoi?

Robert s'était assoupi sur la chaise au chevet de Maximillien et c'est en sursaut qu'il se réveilla.
Il regarda un instant le blessé les yeux hagards.

Changer les draps? Mais pourquoi donc? Ils sont tout propres...

L'aide soignant de gratta le début de barbe qui lui poussait sur le menton en réfléchissant.

Qu'est ce qui vous dérange? Ils vous piquent?

Celle qui avait fait le lit aurait elle oublié son nécessaire a couture dans le lit? Ou alors la couturière aurait elle laissé par mégarde une aiguille dans le drap? Oua lors il s'agissait de tout autre chose....Peut etre un hérisson....non quelqu'un s'en serait rendu compte.
Là, le Robert ne comprenait plus.
Peut etre un effet de la fièvre. Il vérifia donc le front de son patient et haussa les épaules, il ne semblait pas être atteint de ce mal.

Maximillien tenta de se débattre, mais bon ça reste Maximillien donc il n'arriva à rien, forcément.
Finalement résolu a passer le reste de ses jours dans des draps qu'aurait lavé Huguette, Il se calma, puis s'endormit...

{Fin de l'incident nommé Huguette et les draps du valeureux Aspirant...}

Maxou..faut que j'te dise...Tu vas me manquer. J'ai aimé te recoudre, te ligoter, te causer...

"Maxou" fut ému de cette attention, que jamais on ne lui avait porté...

Mais Bébert... tu sais... me connaissant, je vais sans doute revenir ici en courant.. enfin, en rampant...

Sa voix chevrotait. Il est vrai qu'il était gentil l'Bébert de s'être.. si bien occupé de lui pendant ses plus mauvaises heures...
Maxi soupira. Et puis... tu es partout...
Puis ne pouvant plus rester neutre, ses yeux s'humidifièrent.
Toi... toi aussi tu va me manquer rob'...
Il se passa la manche sur les noeunoeuils et détourna le regard. Prenant son inspiration:

Salut. non! ne me retiens pas...

Et enfin, il se retourna et se prpara a quitter la pièce.

Gabrielle fût installée dans une chambre à la décoration épurée; comme toutes les autres de l'hospital. Semi-assise, semi-allongée, Gabrielle berçait encore son petit nouveau né.

Maighdin s'absenta un instant dans le couloir, avant de revenir en demandant:

Veux tu que l'on prévienne quelqu'un?
J'imagine que tu as du être prise au dépourvu.

La rousse releva la tête un instant de sa petite fille; et lui répondit:

Oui... Il faudrait trouver Romi. Elle fit une pause avant de poursuivre... Le reste de la famille est à Péronne, je les verrais en rentrant à l'auberge. Mais je veux bien leur écrire un mot.

Je vais te chercher de quoi écrire, je reviens.

D'accord.

Aussitôt dit, aussitôt fait; la soigneuse sortit. La rousse, quant à elle, repris sa contemplation de la petite.