Barberouge en avait gros sur la patate, mais on lui avait conseillé de se rendre dans l'annexe de l'Ost où les blessés, aussi bien civils que militaires, pouvaient être soignés. Ne sachant guère quelle démarche il fallait faire, le barbaresque se fit escorter par quelques gardes, bien qu'il ne représenta plus guère qu'un danger pour les fourmis et les pucerons.
Arrivé sur le pallier, il attendit de voir un soignant arriver.