[RP] - Lingerie de l'étuve

Elle avait suivit Bertrand jusque dans une pièce qui lui etait encore inconnue, elle passa devant lui lorsqu il ouvrit la porte, la pièce etait petite et plutot sombre tout juste eclairée par la lumière qui filtrait par une fenêtre qui donnait sur la cour de l'hospital, elle put alors se rendre compte que cet endroit servait de lingerie.

Elle se tourna vers Bertrand et lui sourit

"je crois que vous avez bien fait de m'emmener dans cet endroit, au moins le jour où dame Brune me demandera du linge propre pour les clients je saurais où il se trouve"

Bertrand entra lui aussi dans la lingerie. Lorsque Madelon se retourna pour lui faire face, il constata qu'il n'avait pas encore bien regardé la belle demoiselle. Elle était vraiment très mignonne.

Le gros balourd ne savait trop quoi faire maintenant.

Madelon... Euh ! Vous savez... je suis un ancien soldat... J'ai vu comment vous regardiez mes muscles. Bertrand sourit maladroitement mais poursuivit. S'il s'arrêtait maintenant, il ne dirait plus rien. Il tendit l'un de ses bras et fit gonfler ses muscles faisant ressortir de multiples cicatrices.

Vous voyez ces cicatrices. Je les ai reçu lors de violents combats au service de notre bon comté.
J'ai faillit perdre la vie plusieurs fois mais jusqu'à présent la mort ne veut pas de moi.

Pourquoi lui racontait il tout ça. Il en était le premier surpris. Ce devait être cette jeune femme. Elle lui rappelait sa jeunesse...

Elle regardait la bouche entrouverte d admiration face aux biscotots que lui presentait le grand Bertrand, elle avait entendu parler qu il etait surnomé Bertrant "quatre mains" elle commençait a en comprendre la signification.

Elle s'aventura a poser sa main sur les muscles saillants qu il lui presentait, et était quelque peu peinée des souffrances qu il avait du connaitre sur les champs de bataille.

"comme vous êtes fort Bertand, vous avez du beaucoup vous entrainer pour devenir aussi costaud....de violents combats dites vous? mais vous n aviez pas peur? et vous avez souffert? ne parlez pas trop fort de la mort, je suis superstitieuse et la faucheuse n aime pas qu on la defie"

Lorsque la porte s'ouvrit brutalement, Madelon etait toujours occupée à admirer l'impressionante masse musculaire que lui montrait Bertand, elle sursauta vivement, et se tourna vers Liptis qui venait de faire irruption!

euh..euh...Bertand me montrait ses...enfin les pieces...euh..les endroits que je ne connais pas....enfin voilà, donc merci Bertrand, maintenant je sais où trouver le linge propre....bon ben...je vais voir Dame Brune...euh....bien le bonjour Sire Liptis...euh...désolée mais nous ne faisions rien de mal , j'vous jure...

Elle etait devenue aussi rouge qu'un poivron mur...et bagayait sans trop savoir quoi répondre, sans oser regarder son interlocuteur, elle se sentait comme une enfant prise en train de faire une betise